J’ai (Thomas Piquart) eu la chance d’aller au siège de On running en Suisse à l’occasion de la présentation du On Labs. Ce dernier est un endroit de création et d’innovation des produits On. C’est d’ailleurs là-bas qu’a été imaginée la On Cloudsurfer. J’ai pu repartir avec une paire et ainsi commencer mon testing en avant-première.
Lab runpack – On Cloudsurfer
On t’offre la possibilité de tester cette Cloudsurfer dans les rues parisiennes le samedi 1er avril ! Tu trouveras plus d’infos juste ici.
Le contexte du test :
J’ai couru une bonne centaine de kilomètres avec cette Cloudsurfer. Je l’ai essentiellement utilisée sur des footings à différentes allures, de 4’50 à 3’55 et sur des lignes poussées.
Dès la première sortie j’ai tout de suite été conquis par cette sensation de douceur au moment du contact entre le pied et le sol. La marque annonce ce modèle comme une révolution, je comprends totalement pourquoi.
C’est pour moi une première expérience avec la marque mais je peux dire qu’elle est réussie. Mais ne sautons pas les étapes, vous aller le découvrir au fur et à mesure de l’article.
Confort
Note :
(10/10)
J’ai été impressionné par le confort d’accueil de la chaussure. Le pied rentre facilement dedans et est bien épousé par le chausson. En parlant de chausson, on a l’impression d’en avoir aux pieds. La languette est épaisse mais bien rembourrée et épouse le dessus du pied sans l’agresser. Le col de la chaussure est rembourré et offre un confort supplémentaire pour la cheville.
Dynamisme
Note :
(7/10)
Ce qui rend cette chaussure totalement novatrice pour la marque c’est l’utilisation de la technologie CloudTec Phase. C’est cette dernière qui donne la forme unique de cette semelle. Elle n’a pas pour but de rendre la chaussure ultra dynamique mais elle va rendre la foulée plus fluide. Mais même si le dynamisme n’est pas le point fort de cette chaussure, elle est quand même agréable sur des allures allant jusqu’à 15-16km/h.
Stabilité/maintien
Note :
(9/10)
Je n’ai jamais été embêté par une sensation de non maintien lors de mes runs. Le laçage est très efficace, cela est peut-être du à sa construction spéciale. Comme vous pouvez le voir, il n’y a pas d’œillet sur la partie supérieure et ça joue sûrement dans le maintien. Comme je l’ai dit précédemment, la cheville est en contact avec un rembourrage qui joue également dans le maintien de la chaussure.
Amorti
Note :
(9/10)
L’amorti est un des points forts de cette Cloudsurfer. Tout d’abord, la mousse Helion est assez souple. Rien qu’au toucher ou avec une pression de la main, il est possible de comprimer la semelle intermédiaire, ce qui n’est pas toujours le cas avec d’autres mousses. En courant, c’est la même chose. La mousse se plie facilement mais grâce à la technologie CloudTec Phase, on ne reste pas « collé » au sol. C’est vraiment un plaisir de l’utiliser sur des footings, j’ai l’impression de ne pas taper au sol.
Adhérence
Note :
(10/10)
J’ai couru sur différents types de sols, sur de la route, des chemins, des gravillons, qu’ils soient humides ou secs. À aucun moment je n’ai ressenti un manque d’adhérence donc il n’y a vraiment pas de problème à ce niveau là, on se sent en sécurité.
Verdict
Vous l’aurez compris, je valide à 100% ce modèle. J’adore son confort et son amorti réactif. La Cloudsurfer va intégrer pleinement ma rotation de chaussures pour une utilisation sur les footings compris entre 4’00 et 4’45 au kilo. En plus d’être un très bon produit technologiquement, je trouve que son design est vraiment réussi mais ça c’est qu’une question de goût !
Si je devais comparer cette chaussure ça serait à une Pegasus ou à une Novablast mais avec un meilleur amorti.
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