Avec plus de 25 ans d’expérience, MX3 Nutrition, marque française basée aux Sables-d’Olonne, propose aujourd’hui une gamme complète pensée pour couvrir les trois phases clés de la performance : avant, pendant et après l’effort. Cette refonte s’appuie sur une approche plus scientifique, en mettant l’accent sur la tolérance digestive, la biodisponibilité des nutriments, et l’intégration de deux actifs phares : le magnésium marin, pour lutter contre la fatigue, et le collagène marin, pour favoriser la régénération articulaire.
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Juste ici !Pour éprouver cette nouvelle ligne dans un cadre exigeant, Louis, testeur runpack, a emporté les produits MX3 sur le Tour du Mont-Blanc, réalisé en format trail pendant trois jours. Entre longues montées, efforts répétés et gestion de la récupération, il a pu évaluer chaque formule dans des conditions proches de celles vécues par les ultra-traileurs.
On revient en détail sur les promesses annoncées, les ressentis sur le terrain, et ce qui, selon nous, distingue vraiment cette gamme dans un contexte d’endurance.
- Maltodextrine :
La malto de MX3 a un goût neutre et se dilue bien dans l’eau. On peut même y ajouter un peu de sirop pour la rendre plus agréable. Je l’ai utilisée comme conseillé : trois jours avant et jusqu’à la veille du départ. Résultat : un vrai petit coup de boost, moins de fatigue au départ malgré une saison sur piste éprouvante. Bien sûr, ça fonctionne d’autant mieux avec une alimentation équilibrée et une bonne hydratation. C’est simple à préparer : deux cuillères dans une gourde de 500 ml par jour, et c’est parti.
- Protéines chocolat :
J’ai choisi la saveur chocolat/noisette, que j’aime beaucoup au quotidien. Même avec la chaleur, je l’ai bien assimilée, sans souci digestif, et ça changeait agréablement des boissons isotoniques prises dans la journée.
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Juste ici !Je l’utilisais deux fois par jour : une première pendant l’étape, pour apporter une bonne dose de glucides et protéines et limiter la dégradation musculaire, et une seconde en fin d’étape pour optimiser la récupération. Avec seulement deux portions, j’avais 60 g de glucides et 40 g de protéines, un vrai plus pour repartir en forme le lendemain.
- Boisson isotonique :
J’ai opté pour la saveur fraise/basilic, celle qui passait le mieux lors de mes tests. Avec la chaleur, le goût était agréable, mais je ne pourrais pas en prendre tout le temps car il peut vite devenir écœurant.
Chaque portion de 40 g apporte 33 g de glucides, et grâce à l’isomaltulose, l’énergie est restée stable, sans pics de glycémie. J’en prenais une portion par heure, complétée par des barres ou des gels pour varier les goûts et les textures.
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Juste ici !- Electrolytes :
Pour les électrolytes, j’ai choisi le goût neutre, donnant l’impression de boire de l’eau très minéralisée plutôt qu’une boisson d’effort, ce qui passait très bien. Je les ai utilisés avant le projet pour optimiser mes réserves en minéraux, puis pendant l’effort en ajoutant simplement une pastille à chaque point d’eau.
- Verdict :
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